PLASTIC EARTH S.E.A.M. 01 WorldChaos Productions/Adipocere
Plastic Earth reste du Death Suédois, dans la pure tradition, autant dans les sonorités que dans la production… Les breaks et les rythmiques particulières (le jeu des deux guitares en harmonie, par exemple) ne sont pas sans rappeler ce style perpétré par At The Gates et repris maintes et maintes fois en Scandinavie par In Flames, puis Soilwork et j'en passe. Sauf qu'ici, la Suède n'est pas la terre bénite. C'est en effet le Japon qui est à l'honneur, puisque Plastic Earth est un binôme composé par les sieurs Yuki et Yuta Sado. Mais le tout est restitué avec une telle efficacité que nous pouvons nous méprendre. La formule est en effet prise telle quelle, presque sans surprise. La dynamique est là, l'énergie restant en effet la composante principale de ces quelques titres ravageurs… Une caractéristique remarquable de ce duo cependant : la batterie est entièrement programmée, ce qui n'est pas perceptible aux premières mesures (preuve d'un bon travail sur les machines).
Plastic Earth reste du Death Suédois, dans la pure tradition, autant dans les sonorités que dans la production… Les breaks et les rythmiques particulières (le jeu des deux guitares en harmonie, par exemple) ne sont pas sans rappeler ce style perpétré par At The Gates et repris maintes et maintes fois en Scandinavie par In Flames, puis Soilwork et j'en passe. Sauf qu'ici, la Suède n'est pas la terre bénite. C'est en effet le Japon qui est à l'honneur, puisque Plastic Earth est un binôme composé par les sieurs Yuki et Yuta Sado. Mais le tout est restitué avec une telle efficacité que nous pouvons nous méprendre. La formule est en effet prise telle quelle, presque sans surprise. La dynamique est là, l'énergie restant en effet la composante principale de ces quelques titres ravageurs… Une caractéristique remarquable de ce duo cependant : la batterie est entièrement programmée, ce qui n'est pas perceptible aux premières mesures (preuve d'un bon travail sur les machines).
Le site: http://www.world-chaos.com
Ph.
MOLLY HATCHET Warrior Of The Rainbow Bridge Spv
Après plus de 25 ans de carrière derrière eux, on aurait pu penser que Molly Hatchet allait jeter l'éponge. Et bien non ! Le groupe nous livre une fois de plus un bon album de derrière ses fagots. Pour ceux qui connaissent déjà, rien de nouveau sous le soleil du sud des Etats-Unis. Molly Hatchet propose toujours le même Rock/Hard Sudiste plus violent que Lynyrd, mais moins péchu que Zakk Wilde. Du très classique, mais du bien fait. Pour rester dans en terrain connu, la pochette est elle aussi en parfaite harmonie avec celles du reste de leur discographie. Bref rien de bien nouveau même si on sera étonné par l'intro de « Behind the bedroom door » carrément pompé sur la reprise des Beatles par Joe Cocker. Voilà qui devrait rassurer les fans de longue date, mais je serai étonné que le groupe gagne en notoriété auprès de la jeune génération. Dommage, un peu de nouveauté sur un titre ou deux n'aurait pas dépareillé, mais bon, il faut aimer le groupe pour ce qu'il est et pas pour ce qu'on aimerait qu'il soit. En bref un très bon cru qui reste plaisant à écouter même s'il ne révolutionne pas ce genre de musique.
Site Internet : http://www.mollyhatchet.com
V.
Après plus de 25 ans de carrière derrière eux, on aurait pu penser que Molly Hatchet allait jeter l'éponge. Et bien non ! Le groupe nous livre une fois de plus un bon album de derrière ses fagots. Pour ceux qui connaissent déjà, rien de nouveau sous le soleil du sud des Etats-Unis. Molly Hatchet propose toujours le même Rock/Hard Sudiste plus violent que Lynyrd, mais moins péchu que Zakk Wilde. Du très classique, mais du bien fait. Pour rester dans en terrain connu, la pochette est elle aussi en parfaite harmonie avec celles du reste de leur discographie. Bref rien de bien nouveau même si on sera étonné par l'intro de « Behind the bedroom door » carrément pompé sur la reprise des Beatles par Joe Cocker. Voilà qui devrait rassurer les fans de longue date, mais je serai étonné que le groupe gagne en notoriété auprès de la jeune génération. Dommage, un peu de nouveauté sur un titre ou deux n'aurait pas dépareillé, mais bon, il faut aimer le groupe pour ce qu'il est et pas pour ce qu'on aimerait qu'il soit. En bref un très bon cru qui reste plaisant à écouter même s'il ne révolutionne pas ce genre de musique.
Site Internet : http://www.mollyhatchet.com
V.
DUNGEON One Step Beyond Lmp
Dungeon est un groupe Australien formé au début des année 90. Mais l'Australie est une vaste contrée et nous sommes ici bien éloignés d'une quelconque influence des frères Young. Formé autour du guitariste / chanteur / claviériste / compositeur / producteur Lord Tim, le quatuor évolue dans un heavy metal assez traditionnel aux influences Maiden-Helloween-Judas. Force est de constater que Dungeon est encore un de ces groupes qui nous font dire qu'en matière de Heavy, tout à déjà été dit – alors que je pense personnellement que ce n'est absolument pas le cas. L'album est un peu « mou du genou » et on a parfois envie d'aller secouer tout ce petit monde. One Step Beyond est un disque relativement centré sur les guitares et plus particulièrement sur les soli. En effet, on a souvent l'impression que les chansons sont construites autour des soli. Là où tout ça est incohérent, c'est que les guitares sont finalement assez en retrait dans le mix ; le groupe ayant privilégié la voix et la batterie. Certes, Lord Tim est un bon chanteur (pour un guitariste) et un relativement bon guitariste (pour un chanteur) mais néanmoins, il n'a pas réussit à me convaincre de laisser tourner le disque en boucle toute une journée. Les compos ne sont pas mauvaises à l'image de l'helloweenien « Against the wind » mais tellement moins bonnes que les originales. Comme trop souvent, le groupe ne montre ses capacités d'écriture que sur un seul titre qui sort du lot : « Under the cross ». Intro épique sans être guignolesque, riff qui colle au mur, harmonies à la Maiden, refrain fédérateur ; cette chanson foisonne de bonnes choses. Mais voilà, Dungeon veut trop en faire et là où nous aurions eut une bonne chanson de 5 minutes, le groupe nous gratifie de 2 minutes de refrain supplémentaire… le tout en fondu au noir vers un épilogue aussi mauvais que dispensable. Si vous êtes de ceux qui se procurent toutes les sorties estampillées « Heavy » vous trouverez ici ce que vous cherchez mais pas davantage. Pour les autres, mieux vaut vous procurer l'album Maiden qui manque à votre collection et passer votre chemin.
Le site: http://www.dungeon.cd
Malmir
Dungeon est un groupe Australien formé au début des année 90. Mais l'Australie est une vaste contrée et nous sommes ici bien éloignés d'une quelconque influence des frères Young. Formé autour du guitariste / chanteur / claviériste / compositeur / producteur Lord Tim, le quatuor évolue dans un heavy metal assez traditionnel aux influences Maiden-Helloween-Judas. Force est de constater que Dungeon est encore un de ces groupes qui nous font dire qu'en matière de Heavy, tout à déjà été dit – alors que je pense personnellement que ce n'est absolument pas le cas. L'album est un peu « mou du genou » et on a parfois envie d'aller secouer tout ce petit monde. One Step Beyond est un disque relativement centré sur les guitares et plus particulièrement sur les soli. En effet, on a souvent l'impression que les chansons sont construites autour des soli. Là où tout ça est incohérent, c'est que les guitares sont finalement assez en retrait dans le mix ; le groupe ayant privilégié la voix et la batterie. Certes, Lord Tim est un bon chanteur (pour un guitariste) et un relativement bon guitariste (pour un chanteur) mais néanmoins, il n'a pas réussit à me convaincre de laisser tourner le disque en boucle toute une journée. Les compos ne sont pas mauvaises à l'image de l'helloweenien « Against the wind » mais tellement moins bonnes que les originales. Comme trop souvent, le groupe ne montre ses capacités d'écriture que sur un seul titre qui sort du lot : « Under the cross ». Intro épique sans être guignolesque, riff qui colle au mur, harmonies à la Maiden, refrain fédérateur ; cette chanson foisonne de bonnes choses. Mais voilà, Dungeon veut trop en faire et là où nous aurions eut une bonne chanson de 5 minutes, le groupe nous gratifie de 2 minutes de refrain supplémentaire… le tout en fondu au noir vers un épilogue aussi mauvais que dispensable. Si vous êtes de ceux qui se procurent toutes les sorties estampillées « Heavy » vous trouverez ici ce que vous cherchez mais pas davantage. Pour les autres, mieux vaut vous procurer l'album Maiden qui manque à votre collection et passer votre chemin.
Le site: http://www.dungeon.cd
Malmir
