CHAOSWAVE
The white noise within DVS Records
Attention, chef d’œuvre de l’année 2006. Les italiens de Chaoswave réussissent avec The white noise within un véritable carton plein. Ce premier album (!!!) est une véritable tuerie, parfaite fusion musicale de Lacuna Coil et Nevermore. L’emprunt au premier va chercher du côté sombre, gothique et vocalement féminin, au second les rythmiques acérées, bétonnées, le côté technique dans la pure tradition du techno-thrash (Cynic, Atheist, Pestilence… et Nevermore, digne héritier moderne du mouvement). Certes la ressemblance avec le gang de Seattle est frappante mais quel brio dans l’interprétation des titres. Les nombreux breaks et changements de tempi prennent l’auditeur à contre-pied et nous emmènent dans des contrés ou technique et subtilité ne se sont jamais aussi bien mariées. Tous les titres sont des bombes alliant puissance, mélodie et sens du riff. On admirera particulièrement le travail du guitariste Henrik Rangstrup qui excelle dans le domaine du riff qui tue. L’ombre de Jeff Loomis plane sur les rythmiques mais également sur les soli ; là encore, Henrik fait des ravages. Inutile de préciser que la section rythmique basse/batterie fait des merveilles (écouter donc « Mirror » pour vous en convaincre). La combinaison des voix de Giorgia et de Fabio (partagées à 50/50 mais aussi en duo) apporte une touche résolument moderne et un grand bol de fraîcheur. Mélodique, atmosphérique, agressif… nombre de formations mélangeant chant homme/femme devraient en prendre de la graine. Bref, cette offrande est abso-lu-ment in-dis-pen-sa-ble, ne passez surtout pas à côté de ce bijou de métal moderne… mon album de chevet depuis quelques semaines déjà et pour les mois à venir !!
Attention, chef d’œuvre de l’année 2006. Les italiens de Chaoswave réussissent avec The white noise within un véritable carton plein. Ce premier album (!!!) est une véritable tuerie, parfaite fusion musicale de Lacuna Coil et Nevermore. L’emprunt au premier va chercher du côté sombre, gothique et vocalement féminin, au second les rythmiques acérées, bétonnées, le côté technique dans la pure tradition du techno-thrash (Cynic, Atheist, Pestilence… et Nevermore, digne héritier moderne du mouvement). Certes la ressemblance avec le gang de Seattle est frappante mais quel brio dans l’interprétation des titres. Les nombreux breaks et changements de tempi prennent l’auditeur à contre-pied et nous emmènent dans des contrés ou technique et subtilité ne se sont jamais aussi bien mariées. Tous les titres sont des bombes alliant puissance, mélodie et sens du riff. On admirera particulièrement le travail du guitariste Henrik Rangstrup qui excelle dans le domaine du riff qui tue. L’ombre de Jeff Loomis plane sur les rythmiques mais également sur les soli ; là encore, Henrik fait des ravages. Inutile de préciser que la section rythmique basse/batterie fait des merveilles (écouter donc « Mirror » pour vous en convaincre). La combinaison des voix de Giorgia et de Fabio (partagées à 50/50 mais aussi en duo) apporte une touche résolument moderne et un grand bol de fraîcheur. Mélodique, atmosphérique, agressif… nombre de formations mélangeant chant homme/femme devraient en prendre de la graine. Bref, cette offrande est abso-lu-ment in-dis-pen-sa-ble, ne passez surtout pas à côté de ce bijou de métal moderne… mon album de chevet depuis quelques semaines déjà et pour les mois à venir !!
Le site : www.chaoswave.it
Malmir
IAN GILLAN gillan’s inn immergent
La claque, les mecs, la claque ! En recevant ce CDS, je me suis attendu à un bon CD de rock, eh bien trompé que je me suis !! C’est du hard dur, moderne, tendance metal pour certains morceaux ! Le dernier Deep Purple est gentil à coté de ce brûlot ! Décidément, Ian Gillan nous a toujours étonné avec ses albums solo ; en 75, il nous troue le cul avec son premier LP appelé ironiquement « child in time » juste après son premier départ de Deep Purple ; et jusqu'à son retour en 84, il sortira pas loin de 7 albums dont les fabuleux « gillan » et « mr univers » ; en 90, nouveau départ de Purple le temps d’un album (« slaves and master » avec Joe Lynn Turner au chant) et le voila de retour définitivement au sein de Deep Purple ; cela ne l’empêchera pas de continuer à sortir des albums solo, dont l’excellent « naked thunder » en 97 ; ce dernier ouvrage « gillan’s inn » est une vrai bombe ; Ian a retrouvé une voix incroyablement puissante, même dans les aigus ! Pas moins de 4 reprises de Deep Purple sont réarrangées de main de maitre, tel l’émouvant « when a blind man cries » avec Jon Lord aux claviers et Jeff Healey à la guitare ; et une version moderne de « smoke on the water » avec toute l’équipe de Deep Purple au complet et un solo de Steve Morse très inspiré ; plus surprenant encore, la reprise de « trashed » de Black Sabbath de l’album « born again » en 1983, sur lequel Ian tenait le chant ; il reprend ce titre avec un son heavy metal et un certain …Tony Iommi à la guitare !! Et encore plus de surprises sur ce monstrueux CD : Joe Satriani qui nous pond plusieurs soli metal, Uli Jon Roth (Scorpions) , Janick Gers (Maiden), Jon lord, Ian Paice, Steve Morse et Roger Glover de Deep Purple, Jeff Healey, Ronnie James Dio, Johnny Rzeznik (Googoo Dolls), n’en jetez plus, c’est trop ! Il n’y a pas un seul titre moyen sur ce disque, c’est un vrai régal et on a le sourire tout au long de ces 14 titres ; en fait, de ces 29 titres, car c’est un Dualdisk avec une face CD et l’autre DVD qui comprend quelques bonus dont une version interactive de « smoke on the water » ou vous pouvez choisir le guitariste !! Allez courez vite vous procurer ce CD dès sa sortie le 18 avril.
Le site : http://www.gillan.com
FreBbbb
La claque, les mecs, la claque ! En recevant ce CDS, je me suis attendu à un bon CD de rock, eh bien trompé que je me suis !! C’est du hard dur, moderne, tendance metal pour certains morceaux ! Le dernier Deep Purple est gentil à coté de ce brûlot ! Décidément, Ian Gillan nous a toujours étonné avec ses albums solo ; en 75, il nous troue le cul avec son premier LP appelé ironiquement « child in time » juste après son premier départ de Deep Purple ; et jusqu'à son retour en 84, il sortira pas loin de 7 albums dont les fabuleux « gillan » et « mr univers » ; en 90, nouveau départ de Purple le temps d’un album (« slaves and master » avec Joe Lynn Turner au chant) et le voila de retour définitivement au sein de Deep Purple ; cela ne l’empêchera pas de continuer à sortir des albums solo, dont l’excellent « naked thunder » en 97 ; ce dernier ouvrage « gillan’s inn » est une vrai bombe ; Ian a retrouvé une voix incroyablement puissante, même dans les aigus ! Pas moins de 4 reprises de Deep Purple sont réarrangées de main de maitre, tel l’émouvant « when a blind man cries » avec Jon Lord aux claviers et Jeff Healey à la guitare ; et une version moderne de « smoke on the water » avec toute l’équipe de Deep Purple au complet et un solo de Steve Morse très inspiré ; plus surprenant encore, la reprise de « trashed » de Black Sabbath de l’album « born again » en 1983, sur lequel Ian tenait le chant ; il reprend ce titre avec un son heavy metal et un certain …Tony Iommi à la guitare !! Et encore plus de surprises sur ce monstrueux CD : Joe Satriani qui nous pond plusieurs soli metal, Uli Jon Roth (Scorpions) , Janick Gers (Maiden), Jon lord, Ian Paice, Steve Morse et Roger Glover de Deep Purple, Jeff Healey, Ronnie James Dio, Johnny Rzeznik (Googoo Dolls), n’en jetez plus, c’est trop ! Il n’y a pas un seul titre moyen sur ce disque, c’est un vrai régal et on a le sourire tout au long de ces 14 titres ; en fait, de ces 29 titres, car c’est un Dualdisk avec une face CD et l’autre DVD qui comprend quelques bonus dont une version interactive de « smoke on the water » ou vous pouvez choisir le guitariste !! Allez courez vite vous procurer ce CD dès sa sortie le 18 avril.
Le site : http://www.gillan.com
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