666 semaines après sa première sortie, Freedom Call (ou son label) se fait un petit plaisir en ressortant Eternity, probablement son meilleur album à ce jour, celui où ils ont trouvé le bon dosage entre accroche et facilité, en dansant en équilibre instable entre le bon et le mauvais goût.

Si vous êtes fan de heavy-power très mélodique avec chœurs et refrains imparables en-veux-tu-en-voilà, soit vous avez déjà Eternity, soit courez l'acheter, soit dans sa version initiale, soit dans celle-ci. A vrai dire la différence n'est pas flagrante, seul l'ordre des titres a changé.

Sur le site du groupe, il est mentionné que l'album est fourni avec des versions live et des versions alternatives des morceaux et également d'un titre inédit.

Mais il n'en est nulle trace dans le package fourni pour la chronique… Du coup, pas facile de décrire correctement […] ou bien de […] parce que […].

Ben oui, moi aussi je vais fournir une chronique partielle. Et puis, pour coller parfaitement à ce que j'ai dit ci-dessus : « à ma chronique aussi une phrase je fournis de la nouveauté dans le désordre pour apporter ».

Voilà, voilà. M'enfin, l'essentiel, c'est qu'Eternity, même dépouillé de tout bonus, est un must !

Le site : http://www.freedom-call.net/

Joh