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AIRBOURNE Boneshaker
Spinefarm Records

Après un léger changement de line-up et un nouvel artwork, c’est reparti pour un tour de Rock'n'roll, Baby !
Trois années ont passé depuis « Breakin' Outta Hell » et il est l'heure maintenant de sortir un nouveau disque pour le quatuor énervé. On retrouve dans « Boneshaker » la même énergie du début. Et c’est ça qui est bon !

Quelques médias s’accordent à dire qu’ils reprendront un jour le flambeau d’un autre groupe on ne peut plus célèbre, du genre AC/DC, je commence à me dire la même chose, enfin, du moins, ils sont bien partis pour. Ce qui me fait dire ça, c’est que le premier titre éponyme de cet album sonne un peu comme « Hells Bells », sans pour autant en être un copier-coller. C’est un peu le constat global qu’on en fera après l’écoute intégrale de ce cinquième album studio.

Les frères O'Keeffe sont partis, une fois de plus, dans une production soignée, remplie d'énergie, de riffs électriques, de distos bien placées. Du classique Hard & Heavy bien rodé, sans fioritures. Le mixage et mastering sont évidemment de bonne facture. Reconnaissable dès les premiers riffs, Airbourne semble être resté sur ses acquis au niveau de l’architecture de ses compositions et cette tessiture de voix, bien reconnaissable, de Joel. Chacun des morceaux est entrainant et l’ensemble forme une tracklist évolutive, qui monte en force et en puissance au fil de l’écoute. On n’en demandera pas plus à nos australiens qui sont très clairement devenus des artistes de scène plutôt qu’un groupe studio, à mon sens. La voix du frontman est toujours aussi puissante et possède cette espèce d’énergie envoutante dont on a du mal à se défaire depuis l’album « Ready to Rock » (2004).
En bref, ouvrez une bonne bouteille de votre meilleure bière et montez le son !

Pour plus d’infos sur Airbourne, c’est par ici : http://airbournerock.com/

Doro.


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